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On observe qu’une majeure partie des personnes ayant eu des relations sexuelles hors mariage sont des jeunes entre 12 et 18 ans ; à eux seuls ils constituent 71,6%, et cela montre que la nouvelle génération est plus encleinte à céder a cet interdit implicitement prohibé par la loi.Les jeunes de 19 à 30 ans représentent quant à eux 15,7 % soit un pourcentage moins éléve mais assez représentatif.

 

 Il est d’autant plus bas chez la population qui a entre 30 et 50 ans (6%) et la tranche d’âge des 50 et plus (6,7), qui sont cependant ceux qui ont connu le régime de Bourguiba , plus ouvert quant à ces pratiques que le régime de Ben Ali.

Oui, pour la majorité soit 69,9% des personnes ayant répondu  à ce questionnaire.QuelquesTunisiens sont donc optimistes quand à cette avancée et ne sont pas réticents à ce progrès.Cependant , 30% ne pensent pas que le rapport à la sexualité peut évoluer . Les raisons pourraient être diverses, certains sont contre cette avancée tout d’abord. Ensuite, d’autre pensent qu’il n’y a pas moyen que çela évolue à cause de plusieurs freins, sans en être pour autant réticents ou contre.

Chez 35,5 % des Tunisiens, la sexualité est un sujet tabou. C’est quelque peu étonnant puisque de ce fait chez 64,5%des Tunisiens la sexualité n’est pas un sujet tabou, et donc le débat semble plus ouvert et possible désormais.(Il ne faut cependant pas oublier que les personnes qui ont repondu à ce questionnaire n’appartiennent pas aux classes sociales les plus défavorisées puisqu’il était disponible sur Internet)

Comme nous avons pu le voir précedemment, la virginité n’est pas une condition nécessaire au mariage pour la majorité écrasante de 79.4%. C’est d’autant plus étonnant qu’en règle général et dans les discours tenus par la société , la virginité est non seulement une condition nécessaire au mariage mais aussi la condition principale.Toutefois, .(Il ne faut cependant pas oublier que les personnes qui ont repondu à ce questionnaire n’appartiennent pas aux classes sociales les plus défavorisées puisqu’il était disponible sur Internet ou aux personnes les plus âgées qui n’ont pas accès a Internet).

Chiffres et résultat du questionnaire 

Ce questionnaire a été partagé sur plusieurs réseauxsociaux, c'est sur un échantillon de 800 tunisiens qu'il a été effectué.

Pour la majeure partie des femmes ayant repondu a la question, la raison à cette préservation est la conviction religieuse.En effet, dans la religion musulmane il est dit qu’il est interdit de perdre sa virginité avant le mariage. Ainsi 46% des femmes ayant repondu, semblent toujours attachées a leurs traditions et coutumes. Cependant, il y a 24,5% des femmes qui ne cedent pas a cet interditvà cause de la pression sociale, faisant de la virginite un sujet tabou. Ces femmes sont donc en quelques sortes, soumises ,malgré elles, au regard de la société, même si çela concerne un sujet qui est de l'ordre de l'intime. Toutefois, on remarque qu'il y a 16,4% des femmes qui préservent leur virginité à cause du manque d'information vis à vis du sujet; il y a donc un manque d'éducation sexuelle important dans le pays, et une sensibilisation a la protection trop insuffisante. Une derniere raison et non des moindres motive la preservation de la virginite de la femme en Tunisie; les restrictions legislatives telles que l'atteinte a la pudeur, la punition de l'homosexualité ou encore l'interdiction implicite des rapports sexuels avant le mariage. En effet, tous ces actes sont strictement punis par la loi

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